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Compte-rendu de visites

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2012

4 avril LAFARGE
1 juin Sérignan du Comtat
13 juin Paris
1 juillet Mollans sur Ouvèze
22 juillet Aix
20 septembre Avignon
11 octobre Patrimoine militaire dans les Bouches du Rhône

2013

19 Janvier Carpentras
9 mars Valréas Visan
17 18 avril Jardins de la côte d'azur
30 juin Visite du chateau de Suze la rousse et pique-nique chez Michel et Ghislaine de Place
26 septembre Roaix et Vaison la Romaine

2014

27 juin lancement de la revue sur le Vaucluse à la Préfecture

Le 4 avril 2012, LAFARGE

Etant donné le nombre très restreint de participants autorisé à participer à cette visite, elle a été faite à l’occasion d’une réunion du bureau du comité organisateur, avec le programme suivant :
Visite de l’usine de Cruas
Déjeuner dans l’ancien Séminaire de Viviers
Visite du château des Lafarge
Visite de la cité Blanche, ancienne cité ouvrière

retour à l'indexSérignan du Comtat, le 1°juin 2012

Une trentaine de participants se retrouvent à la Péran chez les Bonamy qui nous font admirer leur maison et tout spécialement  les tapisseries de leur salon  pleines de charme, qui datent de1820.

Nous nous rendons ensuite sur la commune voisine de Piolenc, au Château Beauchêne (du XVIII°s), où sa propriétaire Madame Bernard, nous guide à travers les jardins,

A la suite d’un déjeuner dégusté sous les halles de Sérignan, c’est grâce à Catherine Lichtenberger que nous découvrons l’Eglise Saint Etienne (du XVIII°)

et poursuivons  par  l’Harmas Jean Henri Fabre, où a vécu  ce célèbre entomologiste. C’est plein de  passion et d’humour que Monsieur Laguna nous commente les nombreuses anecdotes liées à ce savant trop  souvent méconnu.
Nous terminons cette journée ensoleillée dans la cour du petit Musée du peintre allemand Lichtner-Aix par un rafraîchissement bien mérité en écoutant sa fille qui, pleine d’émotion  nous  retrace sa vie et son oeuvre.
Ci-dessous article dans Vaucluse Matin

retour à l'indexLe 13 juin, à Paris
Lors de l’Assemblée Générale, la remise du prix Emile Garcin pour la réfection de leur Hôtel Brion d’Avignon.

retour à l'indexMollans sur Ouvèze le 1° juillet 2012  

C’est sous la pluie qu’avec une quarantaine de participants, nous nous retrouvions en fin d’après-midi pour visiter Mollans sur Ouvèze.  Et c’est donc sous les parapluies que Monsieur Colonat  nous guide à travers  le dédale d’étroites  ruelles bordées de vieilles maisons. Il nous met à l’abri dans la chapelle des Pénitents, puis dans l’église pour nous faire admirer le magnifique autel en marbre de Carrare d’un beau style baroque flamboyant. Nous découvrons au sommet du village le château fort dont il ne reste que la partie basse du donjon et quelques-unes de ses défenses. Nous continuons vers la fontaine des Dauphins (de 1713), voisine du lavoir public du XIX°, après avoir traversé le pont médiéval et  admiré la Chapelle Notre Dame de la Compassion (1851) en encorbellement au dessus de la rivière.

La pluie se calme le temps de l’apéritif que nous offrent Xavier et Isabelle Masson Regnault  en nous accueillant au Roubion . Nous pouvons ainsi admirer la magnifique vue qui s’offre de cette ancienne bergerie perdue au milieu des bois à flanc de montagne. La soirée se poursuit  autour d’un couscous dans une ambiance pleine de gaité.

retour à l'indexAix le 22 juillet 2012

Retenue de longue date, cette soirée commence par un cocktail  dans les  jardins à la française de la Bastide de Romégas où nous accueille Marie-Ange Rather, déléguée des Bouches du Rhône. Nous nous retrouvons mêlés aux membres de plusieurs associations dont s’occupe  notre hôtesse ainsi que des adhérents s des délégations voisines.
C’est ensuite dans la cour de la Bastide du Grand Saint Jean,  datant XVI siècle, que nous assistons à un magnifique concert pour deux pianos joués par Eric Le Sage et Frank Bradey , avec des morceaux de Ravel, Debussy et Stravinsky.

retour à l'indexAvignon, le 20 septembre 2012

Au cours d'un cocktail déjeuner rassemblant prés de 80 personnes dans les jardins de leur hôtel, Monsieur  Emile Garcin a remis un prix de 5000€ à Monsieur et Madame de Brion récompensant leur formidable travail de restauration.

La journée s'est poursuivie par la visite du Palais des Papes secret , qui nous a fait découvrir des lieux rarement ouverts aux public.

palais des papes secret1 

article de Vaucluse Matin du 23 septembre

article vaucluse matin

 

 

retour à l'indexPatrimoine militaire dans les Bouches du Rhône

 

Le 11 octobre 2012, la délégation VMF de Vaucluse s’est associée à celle du Gard pour effectuer en car, une sortie sur le thème « Patrimoine militaire dans les Bouches du Rhône ».

 

Château Saint Victor

La journée a commencé par la visite du « Château Saint Victor », résidence du gouverneur militaire de Marseille, imposante demeure située dans le quartier résidentiel de la ville, qui domine le Prado et la Corniche. Il fut construit en 1832 par un négociant en vins de Marseille.  Divers propriétaires s’y succèderont et transformeront la propriété. La Croix Rouge va l’acquérir en 1946 en vue d’y créer un hôpital école, mais n’ayant pas les moyens d’effectuer les travaux nécessaires, elle le revendra à l’armée. Nous avons pu visiter les salons de réception du rez de chaussée d’une décoration fin XIXe. Ils sont prolongés par des terrasses, qui permettent d’accéder à un très beau jardin.

Cet ensemble majestueux en plein centre ville de Marseille est vraiment exceptionnel !

 

Déjeuner au Cercle mess de la base de défense de Marseille

Ce Cercle est situé lui aussi dans un cadre magnifique puisqu’il a été construit ces dernières années dans le fort de Ganteaume classé Monument Historique. Celui-ci fait partie avec le fort Saint Nicolas de l’ensemble de la citadelle construite par le chevalier Louis Nicolas de Clerville, Commissaire Général des Fortifications, au XVIIe siècle et commandée par Louis XIV pour protéger la rade de Marseille. La vue sur le fort Saint Jean, ancienne commanderie de l’Ordre de Malte  et sur le Vieux Port est extraordinaire.

 

Camp militaire de Carpiagne

Nous reprenons le car qui longera la Corniche pour rejoindre la route en lacets du col de la Gineste d’où l’on surplombe toute la baie de Marseille.

Ce camp de 1500 hectares niché entre les calanques de Cassis et la ville de Marseille est occupé par le 4° régiment de dragons, régiment de chars lourds de l’armée de Terre, et composé actuellement de 1 000 militaires et civils.

Ce ne sont pas les chars que nous sommes allés voir… mais une ancienne ferme templière, passée aux Hospitaliers en 1312. Ce domaine a été une importante propriété de rapport de l’Ordre avant d’être vendu au XVIIe siècle. L’armée a racheté l’ensemble en 1895. De la commanderie, il ne reste qu’un bâtiment qui sert de salle de réception au colonel commandant le régiment, une petite chapelle construite au 13e siècle par les Templiers mais très remaniée intérieurement ; le plus intéressant étant les écuries voutées transformées en bar… et l’ancienne bergerie également voutée devenue une grande chapelle.

Merci à nos deux militaires Thierry de Seguins-Cohorn et Xavier Lambert qui nous ont fait partager leurs souvenirs de Carpiagne : Thierry y a passé cinq ans et a contribué à la restauration de la commanderie et à sa décoration intérieure quant à Xavier il y a commandé le XIe régiment de cuirassiers. Xavier il y a command

 

Institution des Invalides de la Légion Etrangère

Sous une averse de courte durée nous reprenons la route en direction de Puyloubier où est implantée cette institution commandée aujourd’hui par le lieutenant colonel Jouannic qui nous accueille devant l’imposant château construit au XIX siècle sous les derniers contreforts du massif de la Sainte Victoire. Avec beaucoup de conviction il nous expose les buts de cet établissement : accueillir les anciens légionnaires invalides, blessés, malades ou inadaptés pour leur redonner le goût de vivre en leur proposant diverses activités et leur apprendre un métier. La capacité d’accueil est de 150 pensionnaires. A ce jour, le plus jeune a 42 ans et le plus âgé 92 ans.

Ce domaine de 220 hectares a été acheté par la Légion en 1953, pendant la guerre d’Indochine au cours de laquelle de nombreux légionnaires ont été tués ou gravement blessés !

Il est composé de 40 hectares de vignes, d’une ferme où sont élevées des volailles, d’un atelier de céramique et de sérigraphie et d’un atelier de reliure.

Nous visitons le musée installé dans le château : on peut y voir tous les uniformes de la Légion Etrangère depuis sa création en 1831, jusqu’à la fin de la guerre d’Algérie en 1962.

Le colonel nous invite à terminer la journée par un rafraichissement pris sur la terrasse du mess.

 

retour à l'indexSamedi  19 Janvier 2013 à Carpentras

Vaucluse matin du 21 01 2013

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Valréas_Visan Le samedi 9 mars 2013

VALREAS
Nous retrouvons une cinquantaine de participants au  rendez-vous  fixé  devant le bel hôtel de Simiane, devenu mairie de Valréas en 1826. Il  reste encore quelques vestiges de la première construction par la famille d’Eymeric  au 14e siècle : la porte médiévale et une partie du donjon. L’aile nord et le  corps de logis avec ses arcades et ses deux étages à 7 fenêtres, très classiques, sont du 17e ainsi que la cage d’escalier qui mène au grand salon où l’on peut  admirer un  remarquable plafond avec décorations picturales des 15 et 17e s.  Ce majestueux ensemble fut la demeure des marquis de  Simiane  qui firent rajouter l’aile sud. Rappelons que Louis de Simiane   épousa en 1695  Pauline d’Adhémar de  Grignan, petite fille de madame de Sévigné : c’est  Pauline qui fit éditer la correspondance de sa grand-mère. A côté du grand salon, nous avons pu voir le cabinet de travail des  Simiane avec de curieuses peintures sur des sujets d’apothicairerie  et un petit oratoire avec un plafond en gypserie. Il faut imaginer ce bel hôtel au temps de sa splendeur avec un jardin à la française à l’emplacement de l’actuelle place Aristide Briand.

En flânant dans les vieilles ruelles, notre guide, féru d’histoire locale, nous signale quelques vestiges : portes en ogives ou en plein cintre, fenêtres à croisillons, vastes escaliers en tourelles sur des maisons  souvent en mauvais état ou mal restaurées. Nous entrons dans la monumentale cage d’escalier de l’hôtel d’Aultane, pour admirer un plafond décoré d’une magnifique  gypserie Ier empire ; plus loin,  l’hôtel d’Inguimbert, en cours de restauration, présente une belle façade en pierres de taille avec fenêtres à meneaux.

Notre promenade nous conduit jusqu’à l’église ND de Nazareth, de style roman provençal 11e et 12e s. remaniée aux 14e  et 15e. . Un orgue du 18e s. resplendit de tous ses ors  et de la polychromie de ses boiseries dans le fond de l’église. Dans une chapelle latérale, nous remarquons une étonnante peinture représentant la circoncision d’un nouveau né : peut-être une allusion aux nombreux juifs qui vivaient dans le Comtat !
A proximité de l’église  une harmonieuse grille s’ouvre sur une allée menant à la chapelle des Pénitents blancs, un petit  bijou du 16e s.  avec son magnifique plafond à caissons en trompe l’œil. Les sculptures des stalles sont de grande qualité. Cette chapelle est encore dans « son jus », et n’a subi aucune détérioration alors qu’elle a été vendue comme bien national à la  Révolution.

Nous terminons notre visite de Valréas par l’hôtel de Bruges, propriété de Bertrand et Séverine Liger, adhérents VMF, qui ont acheté une ruine il y a quelques années et l’ont admirablement restaurée et décorée avec beaucoup de goût et d’originalité.  Ils ont également acquis une maison  mitoyenne en piteux état et attaquent courageusement les travaux de  réhabilitation. Nous espérons bien être invités à   voir le résultat dans quelque temps…

 

 

 

 

 

 

 

 

VISAN
Ce village que l’on n’a pas forcément la curiosité de visiter  mérite le détour.
Notre première visite fut une surprise, pour ne pas dire un choc…. Avec les VMF nous  sommes habitués à un patrimoine ancien ; et là nous découvrons, lovée dans un bois de pins,   une construction pour le moins insolite : tout est  lisse, rond, bombé et blanc. Avec ses ouvertures concaves ou convexes, c’est une maison avec des yeux pour voir et non l’inverse. Nous sommes chaleureusement accueillis par son propriétaire qui nous laisse  circuler  à l’intérieur dans un labyrinthe de réseaux et d’espaces lisses et lumineux meublés de quelques éléments design des années 1960-1970. Il nous explique avoir eu le coup de foudre pour cette construction datant  de 1970, époque où s’est développé ce concept de maisons tout en rondeur, sans angles ni surfaces planes  appelées bulles  et édifiées entièrement en béton.

Après cette incursion au XXe s. nous nous retrouvons devant l’hôtel Pélissier, situé en plein centre du village, magnifique édifice du 18e actuellement propriété de la commune et  qui a été sauvé de la ruine grâce à l’acharnement  du maire actuel. Nous l’avions visité il y a deux  ans lors des travaux de  restauration et nous avons pu admirer la totale rénovation.  C’est Joseph de Pélissier, Président du Tribunal ecclésiastique de Carpentras qui le fit construire  au milieu du 18e s. Il est bâti en U autour d’une cour intérieure et la façade est très sobre. Le rez-de-chaussée abrite une cuisine qui dispose d’une cheminée monumentale, une salle à manger et une pièce faisant office de point tourisme. La cage d’escalier est somptueuse avec une très belle rampe en fer forgé. Le premier étage est composé d’une grande galerie qui sert  pour les réunions du conseil municipal, de salons et de chambres ainsi que d’une petite chapelle.  Toutes ces pièces  ornées de cheminées, de boiseries, de trumeaux et de plafonds finement moulurés   ont été refaites avec un goût parfait : les peintures dans des tons de pastel, les rideaux, les lustres et quelques meubles d’époque donnent vie à l’ensemble.

Nous terminons la journée chez Monsieur Jean Paul Léonard, propriétaire de l’hôtel d’Aultane.  Cette  construction remonte au 12e et 13e s. et a été remaniée au 18e. Au rez-de chaussée, nous découvrons une salle à manger et  cuisine avec sa grande cheminée et son tournebroche médiéval à contrepoids. Nous accédons à l’étage par un escalier à vis,  de belles portes 17e ouvrent sur un grand salon jaune et autre rouge, tous deux du 18e avec de fines  gypseries et trumeaux, un charmant cabinet de travail et une chambre à alcôve.
M. Léonard ne nous laisse pas repartir sans un passage par son souterrain qui serpente sous sa propriété mais dont l’issue a été murée et personne ne sait où il aboutit !

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Deux jours dans les jardins de la Côte d’Azur 17 et 18 Avril

 

Le 17 avril, par un soleil estival, nous nous retrouvions 28 participants  à Grasse à la Mouissonne où nous sommes reçus par Lady Lockett et Cyril son jardinier.
La visite du jardin a à peine commencée, la pauvre Marie-Hélène Hintzy se blesse gravement le genou et doit être évacuée  par les pompiers et vivra tout le reste de nos visites par la pensée sur son lit d’hôpital ! Après une opération, elle va bien maintenant.
Nous poursuivons , malgré tout, la ballade à travers les restanques et ses 250 oliviers, la plupart multi centenaires, sous la conduite de nos hôtes, amoureux des lieux  et passionnés de botanique. Ils nous font découvrir les nouvelles  créations : restanques récentes, bambouseraie, potager, prairies et rocailles.  Nous partageons un pique-nique autour de l’ancienne ferme du XVIII°siècle  avec une vue magnifique, qui malgré la légère brume embrasse toute la côte de Cap d’Antibes à Théoule.

Nous nous rendons ensuite chez Monsieur et Madame de Courcel qui nous font découvrir la villa Fort France. Les différents anciens propriétaires y ont créé un jardin en 1930 et ramené de leurs voyages des spécimens de plantes , ce qui a démarré un jardin de collection .
Depuis une vingtaine d’année, les Courcel s’en occupent avec amour.
La maitresse de maison nous en fait découvrir les essences et nous donnent tous ses tuyaux de jardinière en nous communiquant sa passion des couleurs avec son œil de peintre.

 

 

 

 

Nous achevons notre journée avec la Villa de Noailles,  où nous nous promenons librement sur les trois hectares de ce jardin d’inspiration anglaise et italienne au milieu du parfum des fleurs printanières, dans l’alternance de la simplicité rustique au raffinement géométrique, descendant jusqu’à une prairie plantée d’immenses magnolias  en pleine  floraison.

 

 

 

 

 

Nous terminons la journée à la Colle sur Loup, à la Forge où la propriétaire , Anne d’Hauterives nous a préparé un excellent dîner servie sur des jolies tables.
Certains restent sur place pour passer la nuit, tandis que les autres rejoignent à pied l’hôtel l’Abbaye.

 

 

 

 

 

Le lendemain, 18 avril, nous nous retrouvons pour visiter la villa et les jardins Ephrussi Rothchild à Saint Jean Cap Ferrat, véritable palais  datant de la « belle époque », décorée de collections remarquables : porcelaines des Manufactures de Sèvres, côtoient des  tapisseries des Gobelins, de tableaux de maitres  et des pièces de mobilier rare.

Nous parcourons les 9 jardins qui dominent la mer, ornés de colonnades, cascades, bassins, jeux d’eaux musicaux, parterres fleuris et arbres aux essences rares : jardins espagnol, florentin, lapidaire, japonais, exotique, roseraie, provençal, à la française et jardin de Sèvres.

 

 

Cette villa qui date de 1830, a appartenu au roi de Belgique Léopold II. Elle appartient maintenant à la famille Marnier-Lapostolle, propriétaire de la liqueur « Grand Marnier » et du vignoble du Château de Sancerre. Avec ses 25 000 espèces différentes, ce jardin représente la plus grande collection privée au monde de végétaux.
Nous avons la chance de pouvoir nous promener à travers ce jardin exotique, l’arboretum et les 25 serres chauffées, guidé par un des nombreux jardiniers passionné et passionnant.

Encore merci à Tinou Dumond pour l'organisation de cette sortie.

 

 

 

 

la Mouissonne

la villa Fort France

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous déjeunons au soleil  sur le port de saint Jean Cap Ferrat pour nous changer des végétaux, avant de découvrir non loin de là, les richesses des collections de plantes de la villa des Cèdres.

 

 

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Visite du chateau de Suze la rousse et pique-nique chez Michel et Ghislaine de Place

Le dimanche 30 juin dernier, nous nous retrouvions une quarantaine pour visiter le château de Suze la Rousse.
C’est un magnifique batiment, qui derrière son l’aspect extérieur de forteresse médiévale, laisse découvrir une splendide cour  renaissance.
Les intérieurs dévoilent des décors muraux et des agencements typiques du XVIIème et XVIII° siècle tel qu’un escalier d’honneur à double révolution occupant toute une aile du château.
Nous avons pu admirer un musée du vin récemment aménagé, avant de nous promener dans le parc vers le jeu de Paume et la chapelle Saint Michel.
La journée s’est poursuivie dans la propriété de   Beaumefort    à Mondragon où  Michel et Ghislaine de Place nous accueillaient. Là, nos plats préparés étaient mis en commun pour déjeuner à l’ombre des platanes de la cour dans une ambiance très animée.

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Visite de Roaix et Vaison la Romaine

Jeudi 26 septembre, nous avons rendez-vous à 10h pour visiter le jardin du Château de Roaix, qui nous étaient exceptionnellement ouvert.
Il a été élaboré avec l’aide du paysagiste Alain Idoux, qui s’y est tellement attaché qu’il a voulu qu’à sa mort, ses cendres y soient dispersées.
C’est un jardin où les formes reprennent celles du paysage et où l’on est invité à méditer.
Une partie évoque les différents âges de la vie, avant qu’on traverse un théatre de verdure , puis un jardin japonais , où des travaux impressionnants d’apport de rochers et ruisseau artificiel ont été effectués.
Mais plus pharaoniques encore, ont été ceux qui ont fait naitre récemment l’arborétum, où l’on trouve différentes essences d’arbres de taille tout à fait adulte.
Ces derniers voisinent avec une statue de la nymphe Echo et un bassin de Narcisse, entouré d’une roseraie. D’autres statues ou monuments font référence aux différentes religions monothéistes.
En continuant notre promenade, nous découvrons une cabane dans un arbre proche d’un jardin d’oliviers, puis c’est une bambouseraie qui longe ce qu’on pourrait croire une voie romaine, surplombant un labyrinthe…..
Un rafraîchissement nous est offert sur la terrasse du château avant de rejoindre celle du restaurant Le Beffroy à Vaison pour le déjeuner.
Vers 14 h, nous partons vers la cathédrale de l’Assomption, exceptionnellement ouverte pour nous. Nous pouvons admirer les travaux de restauration effectués grâce à une association de bénévoles. L’adjoint au maire  chargé du patrimoine Serge Boyer nous en fait l’historique.
C’est ensuite vers deux vieux hôtels particuliers que les propriétaires pourtant absents, nous permettent d’admirer  grâce à Marie-Christine Jolly. Cette dernière nous offre un verre sur sa terrasse voisine.
La visite se poursuit dans l’église Notre Dame de Nazareth, dans le Vaison «  du bas » de nouveau guidé par Serge  Boyer. Il nous fera découvrir avec passion les traces romaines et les significations des symboles sculptés du ravissant petit cloitre.
Pour conclure notre journée, nous sommes accueillis par  Thierry et Ostiane de Haut de Sigy, dans leur beau mas dont ils nous ouvrent toutes les portes, en nous permettant de nous désaltérer.

lancement de la revue sur le Vaucluse à la Préfecture

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